dienstagsclub.org http://www.dienstagsclub.org Wed, 14 May 2025 19:04:05 +0000 fr-FR hourly 1 https://wordpress.org/?v=6.8.1 http://www.dienstagsclub.org/wp-content/uploads/2025/04/cropped-education_3976625-1-32x32.png dienstagsclub.org http://www.dienstagsclub.org 32 32 Quelle fac de droit choisir ? 7 critères concrets pour faire le bon choix http://www.dienstagsclub.org/quelle-fac-de-droit-choisir-7-criteres-concrets-pour-faire-le-bon-choix/ http://www.dienstagsclub.org/quelle-fac-de-droit-choisir-7-criteres-concrets-pour-faire-le-bon-choix/#respond Wed, 14 May 2025 19:04:05 +0000 http://www.dienstagsclub.org/quelle-fac-de-droit-choisir-7-criteres-concrets-pour-faire-le-bon-choix/ Quelle fac de droit choisir ? 7 critères concrets pour faire le bon choix

Tu veux te lancer en droit, mais tu bloques sur une question ultra simple en apparence : quelle fac choisir ? Franchement, on a tous été là. Sur le papier, ça a l’air de se valoir. Même diplôme, mêmes intitulés de cours… et pourtant, dans les faits, tout peut changer selon l’endroit où tu poses ton sac pour les prochaines années.

Alors on a décidé de te filer un vrai coup de main. Pas un comparatif flou ou des généralités recyclées, non : 7 critères concrets, que tu peux vraiment utiliser pour faire ton choix. Et si tu veux déjà un exemple d’université qui bouge dans le bon sens, jette un œil à https://www.fac-droit-savoie.fr. C’est pas la plus connue, mais y’a de très bonnes surprises côté suivi et pédagogie. Je t’explique tout juste après.

1. La taille de la fac : tu préfères l’amphi ou le cocon ?

C’est un détail… qui change tout. Dans les grosses facs parisiennes ou lyonnaises, tu peux te retrouver à 800 dans un amphi froid comme une salle d’examen. Pas toujours évident de poser une question ou de te faire repérer.

Dans une fac plus “humaine” comme Chambéry ou Pau, t’as parfois des TD avec moins de 20 personnes. Perso, j’ai toujours mieux bossé dans des petits groupes. Tu veux de l’anonymat ou un peu de proximité ? Pose-toi la question, sérieusement.

2. Le niveau d’encadrement (spoiler : toutes les facs ne se valent pas)

Le droit, c’est dur. Vraiment. Si t’arrives de terminale sans méthode, sans rythme, sans cadre, tu risques de te prendre une claque. Et toutes les facs ne t’aident pas pareil. Certaines balancent les cours et basta. D’autres organisent des groupes de soutien, du tutorat, des ateliers pour apprendre à ficher ou à disserter.

Renseigne-toi sur ce que propose chaque fac pour accompagner les L1. Par exemple, certaines comme la fac de droit de Savoie ont mis en place des dispositifs d’accueil progressif. C’est pas du luxe.

3. Les options et parcours spécifiques

Oui, toutes les licences de droit ont un tronc commun. Mais les options, les mineures, les parcours renforcés ou internationaux, ça change tout. Tu veux faire du droit européen ? Du droit des affaires ? Préparer Sciences Po ou l’ENM dès la L2 ? Regarde ce que propose chaque fac.

Ne choisis pas juste en fonction de la ville ou de la distance. Choisis un lieu qui colle avec ton projet (même s’il est encore flou, ça se précise).

4. L’ambiance et la vie étudiante : pas un détail

Tu vas y passer 3 ans minimum, autant que l’ambiance te donne envie d’y rester. Est-ce qu’il y a une vraie vie associative ? Une BU ouverte jusqu’à 22h ? Des cafés sympas autour ? Des résidences étudiantes pas trop craignos ?

Lis les avis d’étudiants (mais garde du recul, y’a toujours des rageux), va voir sur Insta ou TikTok les comptes des assos locales, et si tu peux, fais une journée portes ouvertes. Tu sens vite si l’endroit te parle ou pas.

5. Le taux de réussite en première année

Je sais, c’est pas glamour. Mais c’est hyper révélateur. Une fac qui affiche 65% d’échecs en L1, ça doit t’interpeller. Alors oui, ça peut venir des étudiants eux-mêmes. Mais souvent, c’est aussi un signe que l’accompagnement est léger, ou que les exigences sont décrochées du niveau des entrants.

Essaye de trouver les chiffres officiels, ou demande-les directement aux responsables pédagogiques. Ils les ont. Et si on te les cache… c’est peut-être pas bon signe.

6. Les débouchés et partenariats locaux

Est-ce que la fac est connectée au monde pro ? Est-ce qu’elle bosse avec des tribunaux, des cabinets, des collectivités ? Est-ce qu’il y a des stages intégrés ? Des masterclass d’avocats ou de magistrats ?

Ça, tu le vois souvent dans les maquettes de licence, ou en fouillant un peu sur les sites officiels. Et ça peut faire une énorme différence pour ton réseau dès la L3.

7. La mobilité et les échanges à l’étranger

Tu rêves de faire un semestre à Rome ou à Montréal ? Certaines facs te le permettent dès la L2. D’autres ont zéro accord hors UE, ou te mettent des bâtons dans les roues si tu veux partir.

Regarde les programmes Erasmus, les doubles diplômes, les accords avec les universités étrangères. Même si t’es pas sûr d’en profiter, avoir le choix, c’est précieux.

En résumé

Y’a pas une fac “meilleure” que les autres. Y’a juste une fac qui te conviendra mieux, à toi, avec ta manière de bosser, tes envies, ton rythme. Prends le temps de fouiller, de comparer. Ce choix peut vraiment impacter toute la suite.

Et surtout : fais-toi confiance. Si un endroit te parle, que t’as un bon feeling, écoute-le. Parfois, c’est pas rationnel… mais ça fonctionne.

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Comment les classes d’été peuvent t’aider à te remettre à niveau http://www.dienstagsclub.org/lego-summerschool/ http://www.dienstagsclub.org/lego-summerschool/#respond Tue, 13 May 2025 20:31:52 +0000 http://www.dienstagsclub.org/comment-les-classes-dete-peuvent-taider-a-te-remettre-a-niveau/ Comment les classes d’été peuvent t’aider à te remettre à niveau

Tu sors de l’année scolaire un peu sonné, pas trop sûr de ce que t’as retenu, voire carrément largué dans certaines matières ? T’es pas seul. C’est plus que courant. Et franchement, entre les cours à distance parfois mal fichus, les profs absents ou juste la fatigue générale… normal que certains aient décroché. La bonne nouvelle, c’est qu’il existe une vraie solution pour repartir du bon pied : les classes d’été.

Alors oui, dit comme ça, “classes d’été”, ça sonne un peu comme une punition, genre “t’as raté ton année, allez hop, enchaîne en juillet”. Mais en vrai, c’est tout le contraire. C’est une chance. Une façon de remettre les compteurs à zéro. Et si t’es en mode “je veux assurer au brevet mais là c’est mort”, va faire un tour sur https://www.capbrevet.net, tu vas tomber sur des ressources béton pour réviser tranquillement (ou intensément, selon ton mood).

Mais au fait, c’est quoi une classe d’été ?

Pas de panique, c’est pas l’école militaire. En gros, ce sont des stages organisés pendant les vacances d’été – souvent début juillet ou fin août – qui te permettent de revoir les bases dans une ou plusieurs matières. Français, maths, histoire-géo… Tu choisis. Certains établissements les proposent directement, d’autres passent par des assos ou des boîtes spécialisées. Parfois c’est gratuit, parfois faut payer (genre 100 à 300€ la semaine). Mais ce qui compte, c’est ce que t’en retires.

Ce que ça change concrètement

D’abord, le cadre est super différent. T’es en petit groupe, souvent avec un prof motivé (parce que s’il est là en été, c’est qu’il kiffe enseigner). L’ambiance est plus détendue qu’en classe, mais ça bosse. L’objectif, c’est pas de t’enfoncer sur tes lacunes, c’est de te faire progresser vite, à ton rythme. On t’explique ce que t’as pas compris sans te juger, tu poses des questions sans stress. Et surtout : tu reprends confiance.

Perso, j’ai testé un stage de maths à la fin de la seconde parce que j’étais à la ramasse totale (genre 6 de moyenne au dernier trimestre). En une semaine, j’ai enfin capté les fonctions, les équations, le délire des vecteurs… Je dis pas que je suis devenu génie, mais j’ai repris pied. Et à la rentrée, j’ai commencé l’année en comprenant ce qu’on me racontait. Rien que ça, ça change tout.

À qui ça s’adresse ?

À ceux qui ont galéré cette année. À ceux qui visent un examen (brevet, bac, partiels) mais se sentent pas prêts. À ceux qui changent de filière ou de niveau et flippent un peu. Ou juste à ceux qui veulent pas perdre tout pendant deux mois de vacances. Honnêtement, c’est pas réservé aux “mauvais élèves”. Y’a plein de bons élèves qui y vont pour consolider leurs acquis ou prendre de l’avance.

Comment bien choisir sa classe d’été ?

Regarde la durée, le nombre d’élèves par groupe, le programme détaillé. Fuis les trucs flous du genre “remise à niveau générale” sans précisions. Pose des questions : est-ce que le prof est certifié ? Est-ce qu’il y a des supports de cours ? Est-ce qu’on peut poser ses propres questions ? Et surtout : est-ce que tu te sens à l’aise dans le cadre proposé ?

Si tu veux bosser en ligne (et rester en pyjama), il existe aussi des versions 100% numériques avec suivi à distance. Moins interactif parfois, mais pratique si t’as pas de solution près de chez toi.

Est-ce que ça vaut vraiment le coup ?

Franchement, ouais. C’est pas une solution miracle, faut s’investir un minimum. Mais le gain est réel. Tu repars avec des bases solides, t’abordes la rentrée plus sereinement, t’es moins paumé dès la première semaine. Et parfois, ça suffit à enclencher une dynamique complètement différente.

Alors, classe d’été ou pas ? Si t’as même un petit doute sur ton niveau, tente. Mieux vaut une semaine de boulot maintenant que six mois de galère plus tard.

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Lycée pro ou lycée général : comment faire le bon choix selon son profil ? http://www.dienstagsclub.org/lycee-pro-ou-lycee-general-comment-faire-le-bon-choix-selon-son-profil/ http://www.dienstagsclub.org/lycee-pro-ou-lycee-general-comment-faire-le-bon-choix-selon-son-profil/#respond Fri, 09 May 2025 11:33:48 +0000 http://www.dienstagsclub.org/2025/05/09/lycee-pro-ou-lycee-general-comment-faire-le-bon-choix-selon-son-profil/ À 14 ou 15 ans, on te demande déjà de faire un choix qui pourrait avoir un impact énorme sur ta vie. Sérieusement, c’est un peu violent non ? Pourtant, la question est bien là : lycée professionnel ou lycée général ? Et franchement, y’a pas de réponse toute faite. C’est ton profil, ton rythme, tes envies qui doivent guider le truc.

Un choix qui fout la pression (mais qui peut être libérateur)

Quand t’es en 3e, t’as à peine eu le temps de comprendre ce que t’aimes vraiment qu’on te balance des mots comme “voie générale”, “voie pro”, “parcoursup”, “baccalauréat”. Ça peut vite te filer le tournis. Et autour de toi, les discours fusent :

  • “Le général, c’est mieux, ça garde toutes les portes ouvertes.”
  • “Le pro, c’est pour les élèves en galère.”
  • “Si tu vas en pro, t’as pas de vrai avenir.”

On met les pieds dans le plat ? Ces phrases-là, elles sont bourrées de clichés. Et elles te freinent dans la vraie réflexion : toi, t’as envie de quoi ? Tu te sens comment en cours ? Tu te projettes comment dans 3 ans ?

Lycée général : plus théorique, plus “long terme”

Le lycée général, c’est un peu la voie royale. T’as des matières “classiques” : français, philo, histoire-géo, maths, SVT… Tu choisis des spécialités en première (genre “Maths + Physique-Chimie” ou “SES + HGGSP”) et l’objectif, clairement, c’est de continuer les études. Fac, prépa, école d’ingé, médecine…

Mais soyons honnêtes : c’est pas fait pour tout le monde. Perso, j’ai vu des potes s’acharner en général alors qu’ils détestaient les cours magistraux. Résultat ? Démotivation, redoublement, et parfois arrêt complet. Le lycée général, ça demande une grosse capacité à rester concentré sur des trucs parfois très abstraits… pendant longtemps.

Tu aimes les débats d’idées ? Les livres ? Te poser des questions sur le monde, la société, le vivant ? Alors ouais, peut-être que la voie générale va te stimuler. Mais si t’en peux plus des dissertations de 4 pages sur “la liberté chez Rousseau”, on peut se poser la question, non ?

Lycée pro : concret, rapide, et plus riche qu’on ne croit

On va pas tourner autour du pot : le lycée pro, pendant longtemps, ça a été mal vu. À tort. Grave à tort. Aujourd’hui, un bac pro, c’est pas une voie de garage. C’est une voie directe vers l’emploi, parfois en alternance, avec des stages réguliers dès la seconde. Et t’as plein de domaines : commerce, hôtellerie, gestion, bâtiment, esthétique, mécanique…

Tu veux un exemple ? Léa, en bac pro ASSP (Accompagnement, Soins et Services à la Personne), a fait des stages en crèche, en maison de retraite. Résultat : à 18 ans, elle bosse déjà et envisage un BTS. Elle galérait au collège, maintenant elle kiffe ce qu’elle fait. Y’a pas photo.

Donc si t’aimes le concret, que t’as besoin de bouger, de manipuler, d’apprendre autrement que derrière une table pendant 6h par jour, franchement, le lycée pro peut te révéler. Et en plus, tu peux continuer les études après : BTS, voire licence pro. Ça aussi, on le dit pas assez.

Et si tu sais pas encore ? T’as le droit.

Parfois, on se sent paumé. Pas vraiment attiré par une matière en particulier, pas non plus allergique à l’école. Tu veux garder tes options ouvertes ? Ok, le général peut être une bonne solution si tu tiens le rythme. Mais t’as aussi des voies mixtes, comme le bac technologique (STMG, STI2D, ST2S…). Un peu plus appliqué que le général, un peu moins métier que le pro. Un entre-deux qui peut bien coller à certains profils.

Mais n’oublie pas : tu peux changer. Un élève de général peut bifurquer vers un BTS pro après. Un élève de pro peut aller à la fac. C’est plus souple qu’on le croit. Et c’est pas une flèche rouge gravée à vie sur ton front.

Pose-toi les bonnes questions

Voici quelques pistes, simples mais puissantes :

  • Tu préfères apprendre en faisant ou en lisant ?
  • Tu t’imagines bosser rapidement, ou tu veux prendre ton temps ?
  • Tu aimes quelles matières ? Tu les aimes vraiment, ou tu les supportes juste ?
  • Tu te sens bien quand t’es dans une salle de classe, ou ça t’angoisse ?
  • Tu veux te sentir utile vite, ou réfléchir longtemps ?

Prends un carnet, note. Discute avec tes profs (certains sont vraiment là pour t’aider, pas pour te juger). Appelle un CIO. Demande à des anciens élèves. T’as le droit d’explorer.

En vrai, le bon choix, c’est le tien

Y’a pas de voie “noblement meilleure”. Ce qui compte, c’est que tu te reconnaisses dans ce que tu fais. Que tu sois fier·e d’en parler. Que tu te lèves le matin sans la boule au ventre.

Alors lycée pro ou lycée général ? C’est pas une guerre. C’est une orientation. Et elle peut changer, s’affiner, se transformer. Mais le plus important, c’est qu’elle parte de toi. De qui tu es. Et de ce que tu veux construire, maintenant.

Et toi, tu t’es déjà demandé ce qui te fait vraiment vibrer ?

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